le 24/04/2023
Pouvons-nous encore faire confiance aux autorités sanitaires et à nos gouvernants ?
La gestion de la santé depuis des années, c’est :
- Une absence de politique de promotion de la santé
- Un démantèlement de l’hôpital public et une sous-médicalisation des EHPAD
- Une augmentation des déserts médicaux entraînant une perte de chance et une mise en danger des malades
- Une dépendance envers la Chine et l’Inde pour la production de médicaments
- Une industrie pharmaceutique minée par la fraude et la dissimulation des données, qui minimise les risques, exagère les bénéfices de ses produits, et filtre les données qu’elle adresse aux autorités sanitaires
- Une absence de lutte contre la fraude dans les essais cliniques menés par les laboratoires, une défaillance de la pharmacovigilance, plusieurs scandales sanitaires, des laboratoires pharmaceutiques condamnés par les tribunaux, une condamnation de l’Agence nationale de sécurité du médicament dans le procès du Mediator • Une impréparation face au risque de pandémie depuis 2014
La gestion de la crise de la Covid 19, c’est :
- Une gestion par la peur et la culpabilisation, avec d’importantes répercussions psychologiques
- Des messages paradoxaux sur l’utilité des masques, des confinements sans preuve de leur efficacité
- Une gestion par le secret défense et dans l’opacité des réunions d’un conseil de défense sanitaire
- L’absence de respect des règles de l’expertise sanitaire, la disparition du débat contradictoire
- Des conflits d’intérêt au sein du conseil scientifique et de nombreuses incertitudes scientifiques dissimulées
- Les données fiables du réseau Sentinelles qui ont été ignorées, la modification de la définition d’un cas confirmé et des tests PCR mal calibrés, provoquant un gonflement artificiel du nombre de cas positifs
- Un abandon des soins, des médecins de ville empêchés de prescrire, le refus de traiter les formes précoces avec le repositionnement de molécules anciennes, une arrivée trop tardive des malades aux urgences
- L’absence de vaccins classiques à virus tués, basés sur plusieurs antigènes
- Tout miser sur des vaccins à ARNm basés sur une technologie qui n’avait pas fait ses preuves auparavant
- Une balance bénéfices risques inconnue, le temps de mener la phase d’expérimentation à son terme fin 2023
- Des vaccins à ARNm qui perdent leur efficacité au bout de 3 mois et qui n’empêchent pas la transmission
- De nombreuses inconnues sur leur diffusion dans l’organisme, sur leur stabilité et leurs effets à long terme
- Un nombre considérable d’effets indésirables précoces susceptibles d’être liés à la vaccination (selon les données de l’Agence européenne du médicament), et bien plus nombreux que ceux liés à des vaccins classiques comme le vaccin contre le Tétanos (selon la base de données Vigiaccess de l’OMS)
- Une proportion importante d’effets indésirables graves, jusqu’à 25 % des signalements (selon les rapports de l’Agence nationale de sécurité du médicament)
- Le non respect du principe de précaution alors que les vaccins à ARNm sont des remèdes insuffisamment éprouvés et que le code de déontologie médicale impose dans ce cas la prudence (cela devrait concerner a priori les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, voire même les moins de 60 ans)
- Une obtention du consentement opaque avec l’absence d’une information loyale sur les vaccins à ARNm
- Une stigmatisation à tort et sans fondement scientifique des non vaccinés, provoquant un clivage de la société et une division au sein même des familles
- Des soignants non vaccinés suspendus et sans salaire, en l’absence de tout fondement scientifique
- Des laboratoires exonérés de leurs responsabilités juridiques
- Une campagne de vaccination confiée à un cabinet impliqué dans le scandale des opioïdes aux Etats-Unis
- Des contrats opaques entre l’Union européenne et les laboratoires pharmaceutiques, avec le dépôt d’une plainte en pénal en avril 2023 contre la présidente de la Commission européenne
- Une Agence européenne du médicament sous la dépendance du financement de l »industrie pharmaceutique
- Des traitements innovants et rentables pour l’industrie pharmaceutique au détriment de toute autre approche
- Une instrumentalisation de la science pour des raisons politiques et financières
- La démocratie sanitaire bafouée avec un oubli de la place des patients, des citoyens et de la société civile
Tous ces points sont détaillés dans l’expertise citoyenne menée par l’association CLP et adressée aux députés avec plusieurs lettres entre juin 2021 et janvier 2022. Celles-ci sont consultables sur le site de l’association www.citoyenslibresdespyrenees.fr/actions/lettres/